Jérusalem céleste


Sculpture incluse dans le lustre central de la cathédrale, signe de la terre nouvelle promise pour la fin des temps.

L’Apocalypse selon st Jean – Apocalypse 21,10. « Il me transporta donc en esprit sur une montagne de grande hauteur et me montra la Cité sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, de chez Dieu, avec en elle la gloire de Dieu. Elle resplendit telle une pierre très précieuse, comme une pierre de jaspe cristallin. Elle est munie d’un rempart de grande hauteur pourvu de douze portes près desquelles il y a douze Anges et des noms inscrits, ceux des douze tributs des fils d’Israël ; à l’orient, trois portes ; au nord, trois portes ; au midi, trois portes ; à l’occident, trois portes. Le rempart de la ville repose sur douze assises qui portent chacune le nom des douze Apôtres de l’Agneau../.. cette ville dessine un carré…/”

Jérusalem signifie historiquement la cité terrestre de ce nom, où se rendent les pèlerins, et allégoriquement, c’est l’Eglise militante, et tropologiquement toute âme fidèle, enfin, anagogiquement, la Jérusalem ou la patrie céleste.