Deux versions :
-Œuvre de Paul Abadie qui le dessina à l’origine pour le mariage de Napoléon III et d’Eugénie à Notre Dame de Paris le 30 janvier 1853. Sitôt l’union célébrée, le lustre est démonté, à la demande des souverains, et expédié à la cathédrale Saint Front où il est reçu comme un témoignage d’estime.
-Œuvre de Paul Abadie, prêté en 1853 par l’évêque de Saint-Front à la cathédrale de Notre Dame de Paris pour le mariage de Napoléon et d’Eugénie. Reconnaissant pour ce prêt, Napoléon y fait ajouter avant de le rendre, un reliquaire sur le thème de la Jérusalem céleste (voir ce terme).
Le lustre comme les trois autres, sont ornés de bouquets de 12 lampes, chiffres de la complétude.
Ce même type de luminaire existe dans la cathédrale d’Aix la Chapelle où repose Charlemagne.